Les idées reçues sur les broyeurs de déchets

En moyenne, l’énergie utilisée pour faire fonctionner un broyeur coûte moins de 1 $ par an. Plusieurs études ont montré que le volume d’eau utilisé pour l’élimination des déchets alimentaires s’élève en moyenne à un peu plus d’un gallon par personne et par jour. Si cela semble beaucoup, il convient de savoir que même les toilettes les plus efficaces utilisent plus d’un gallon d’eau à chaque fois que la chasse est tirée.

Plus de deux douzaines d’études du monde entier ont conclu que même l’adoption généralisée des broyeurs de déchets alimentaires n’a pas d’impact négatif sur les réseaux d’égouts des collectivités. De nombreuses villes s’inquiètent de l’accumulation de graisses et d’huiles, mais que l’on ait ou pas un broyeur, il ne faut jamais introduire d’huile de cuisson ou des restes de graisse dans l’évier. La grande partie des restes de nourriture envoyés dans les broyeurs sont des fruits, des légumes et des céréales contenant peu ou pas de graisse. Même une utilisation généralisée des broyeurs n’entraîne qu’une légère augmentation du total des déchets solides dans les égouts de la collectivité.

Les réseaux d’égouts sont conçus pour traiter les déchets : débris de ruissellement des rues, papier hygiénique, etc. L’adoption généralisée des broyeurs n’augmente que marginalement la quantité de déchets traités par les réseaux d’égouts. Tout comme les déchets humains, les restes de nourriture sont principalement constitués d’eau, ce qui signifie qu’ils se dégradent plus rapidement. De plus, la réduction de la quantité de déchets à ramasser permet aux municipalités d’économiser de l’argent sur les coûts de ramassage et d’élimination des ordures.

Faux ! Les broyeurs réduisent les restes de nourriture en une bouillie qui peut facilement être traitée par votre fosse septique. Les restes alimentaires se décomposent plus rapidement que les autres déchets envoyés dans le réservoir, et comme les restes de nourriture sont constitués de 70 % à 90 % d’eau, ils ne représentent qu’un très faible volume des solides qui se déposent au fond du réservoir. Des études ont montré que les installations septiques associées à un broyeur de déchets alimentaires ne nécessitent pas de pompage plus fréquent que celles qui ne le sont pas.

Les broyeurs sont une solution utilisable toute l’année et peuvent vous aider à faire face à certaines difficultés et limites du compostage. Les broyeurs InSinkErator sont assez puissants pour broyer des déchets non compostables tels que de la viande, des os, des produits laitiers et des œufs, ainsi que des choses comme des écorces d’agrumes, des oignons et de l’ail qui peuvent repousser les insectes, les vers et les bactéries utiles de votre tas de compost. Si des déchets alimentaires malodorants attirent des parasites indésirables, le broyage de ces déchets peut également empêcher les parasites de pénétrer dans votre compost.

Beaucoup de gens pensent qu’il n’est pas possible ou qu’il ne faut pas mettre des restes tels que des os de poulet, des coquilles d’œufs et des épluchures de pommes de terre dans un broyeur de déchets. C’est peut-être le cas pour de nombreux broyeurs de la concurrence, mais pas pour les broyeurs InSinkErator qui peuvent broyer de nombreux restes que d’autres ne peuvent pas. InSinkErator prélève régulièrement des broyeurs sur sa chaîne de montage et les soumet à des tests rigoureux qui comprennent le broyage de divers restes de fruits et de légumes ainsi que d’os de bœuf congelés et de morceaux de bois.
L’idée reçue selon laquelle certaines choses ne passent pas au broyeur découle de la croyance que les broyeurs fonctionnent comme un mixeur, avec des lames en rotation qui peuvent s’émousser ou être obstruées par des légumes filandreux. Saviez-vous que les broyeurs n’ont pas de lames ? Ils ont en fait des pattes montées sur une plaque tournante qui poussent continuellement les déchets alimentaires contre un anneau de broyage stationnaire qui réduit les déchets alimentaires en de minuscules particules.